Sa vie
Parlez-moi de sa vie, de ses sourires d'enfant.
De ses yeux qui pétillent, de son mépris du temps
Dites-moi comme il est au fond des océans
Des cendres éparpillées, le rire des goélands
Racontez-moi encore comme il nous faisait rire
comme il était charmant comme ils doivent le haïr...de voler un enfant
Ils me disent qu'ils y sont tous les deux dans les cieux qu'ils doivent y faire la paix, qu'ils doivent même rigoler
Des foutaises à foison s'il y'avait un après
pour sûr que toi Pierrot, tu lui referais la peau...
Dites moi comme je l'aime, comme je n'ai eu de peine que du manque de lui
Comme jamais je n'ai cru pouvoir sentir la haine,
alors qu'il leur a pris
Ce qui était plus cher que leur vaste demeure, que l'on ne peut accepter que son enfant se meurt
Il y'en a eu des autres éteints bien avant l'heure, mais mon cœur est trop gros et c'est lui que je pleure.
Parfois, le saviez-vous, lorsque l'alcool me noie que les murs crient son nom, moi je lui parle encore.
Je trinque à ta santé que t'as pas su garder.
Je bois à ta mémoire, aux étoiles facétieuses qui dessinent ton visage comme dans les fins heureuses.
De ses yeux qui pétillent, de son mépris du temps
Dites-moi comme il est au fond des océans
Des cendres éparpillées, le rire des goélands
Racontez-moi encore comme il nous faisait rire
comme il était charmant comme ils doivent le haïr...de voler un enfant
Ils me disent qu'ils y sont tous les deux dans les cieux qu'ils doivent y faire la paix, qu'ils doivent même rigoler
Des foutaises à foison s'il y'avait un après
pour sûr que toi Pierrot, tu lui referais la peau...
Dites moi comme je l'aime, comme je n'ai eu de peine que du manque de lui
Comme jamais je n'ai cru pouvoir sentir la haine,
alors qu'il leur a pris
Ce qui était plus cher que leur vaste demeure, que l'on ne peut accepter que son enfant se meurt
Il y'en a eu des autres éteints bien avant l'heure, mais mon cœur est trop gros et c'est lui que je pleure.
Parfois, le saviez-vous, lorsque l'alcool me noie que les murs crient son nom, moi je lui parle encore.
Je trinque à ta santé que t'as pas su garder.
Je bois à ta mémoire, aux étoiles facétieuses qui dessinent ton visage comme dans les fins heureuses.
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