Zone libre

L’air de rien, voilà un paquet de jours que je ne suis pas venu hurler à la lune sur ce blog qui va finir par s’étouffer de toute cette poussière.

Quelques soucis de santé ont obligé votre serviteur à changer son mode de vie, mais ça n’est pas bien facile lorsque, comme moi, vous avez passé les 15 dernières années accoudés au comptoir.

Arrimé serait plus juste.

Mais qu’importe !!

Je ne suis pas vraiment en état d’en dire plus, et puis l’intérêt est moindre, pour vous comme pour moi, néanmoins j’ai un paquet de choses à dire, et ces mots viendront danser joyeusement sur les pages de ce cahier à ciel ouvert très prochainement.

Mes dernières tentatives créatives furent des fiascos, à part le dessin, mais ça je ne peux le partager ici…

Cet « accident », bien nébuleux encore pour moi, qui m’emmène tout droit chez un neurologue (J’ai vu les photos des gars qui passent les électroencéphalogramme, on dirait des nageurs avec des électrodes, je vous promet de vous le raconter si je le peux…encore !), est-il la cause de l’insoutenable souffrance amoureuse qui une fois de plus est venue me planter au cœur ? Ou bien en est-ce la conséquence ?

Tout cela est flou, mais comme on dit chez les Kennedy : « te laisse pas abattre », j’ai décidé de me bagarrer. C’est plus intéressant mais épuisant.

Je vais donc soigner mon cerveau, et tant que j’aurais assez de neurones pour venir ici laisser quelques mots je ne m’en priverai pas !

Quand à l’amour de ma vie…il brûle de mille feux, mais je suis bien obligé de le laisser mourir.

Je la vois partir, et je hurle, et elle n’entend pas, et je cours sur le quai en agitant les bras, en lui disant que je l’aime qu’elle sera heureuse…elle me regarde tristement et ne peut me prendre dans ses bras.

Je t’aime comme jamais je n’ai cru que ce fut possible.

Je sais ta peine, je ne partagerai pas la mienne.

Et oui je sais, ça n’est pas super gai tout ça, mais on ne fait pas toujours ce que l’on veut…néanmoins si je n’ai pas perdu tous mes lecteurs en route, et bien je reviendrai ce week-end.

Peut être avec une bonne nouvelle, qui sait ?

Hasta siempre ! C’est plus que jamais de circonstance…