Des histoires sans la fin
Des histoires sans la fin, des ombres en pleine lumière
Dans leurs costumes d'airain, dans leurs yeux ils sont fiers
A vouloir expliquer les mots comme des missels
De ceux qu'ils refermaient en regardant le ciel
A vouloir excuser les errances le passé
De sa marque d'honneur, si peu de volonté
Des reproches qui s'empilent comme autant de feuillets
Il y'en a tant et tant qu'on ne peut plus maquiller
C'est le bleu de la ville qui m'a fait tournoyer
Luciole parmi les autres et ne jamais flancher
De fierté ils me parlent, égoïste à mourir
De beauté moi je n'aime se préparer au pire
Vous tous ceux qui m'honnissent est-ce que vous pouvez dire ce qui semblerait vrai, ce qui nous faisait rire ?
J'ai perdu à lui seul ce qui reste de moi
Une écorchure de plus à regarder d'en bas
De ces mots les derniers qui me viennent encore
Je ne pourrais, je pense, aller au corps à corps
Alors pour cette fois il semble que le tour
Je l'ai parcouru même sans pouvoir mettre à jour
Une idée malvenue, une envie entendue...
Les adieux ne ressemblent à rien d'autre qu'une pause
Mes larmes seraient seules, au tombeau une rose
J'abandonne le combat il est perdu d'avance
Je n'ai même jamais su retomber pour la France
La descente aux enfers me parait bien trop longue
Et je fume et je jette une à une ces blondes.
Dans leurs costumes d'airain, dans leurs yeux ils sont fiers
A vouloir expliquer les mots comme des missels
De ceux qu'ils refermaient en regardant le ciel
A vouloir excuser les errances le passé
De sa marque d'honneur, si peu de volonté
Des reproches qui s'empilent comme autant de feuillets
Il y'en a tant et tant qu'on ne peut plus maquiller
C'est le bleu de la ville qui m'a fait tournoyer
Luciole parmi les autres et ne jamais flancher
De fierté ils me parlent, égoïste à mourir
De beauté moi je n'aime se préparer au pire
Vous tous ceux qui m'honnissent est-ce que vous pouvez dire ce qui semblerait vrai, ce qui nous faisait rire ?
J'ai perdu à lui seul ce qui reste de moi
Une écorchure de plus à regarder d'en bas
De ces mots les derniers qui me viennent encore
Je ne pourrais, je pense, aller au corps à corps
Alors pour cette fois il semble que le tour
Je l'ai parcouru même sans pouvoir mettre à jour
Une idée malvenue, une envie entendue...
Les adieux ne ressemblent à rien d'autre qu'une pause
Mes larmes seraient seules, au tombeau une rose
J'abandonne le combat il est perdu d'avance
Je n'ai même jamais su retomber pour la France
La descente aux enfers me parait bien trop longue
Et je fume et je jette une à une ces blondes.
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