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Le travail c'est la santé

Depuis quelques années déjà les différences politiques entre la droite, dite républicaine, et la gauche, dite sociale-démocrate, ont tendance à s'éroder pour partie voire carrément à s'annuler ! L'antienne populo-poujado-stupido-inutile qui consiste à dire que la gauche et la droite de toute façon c'est pareil, je ne vous cache pas que j'en ai soupé ! D'autant plus qu'elle a tendance, depuis quelques temps, à s'accompagner d'un non moins navrant : et puis elle dit pas que des conneries la petite Le Pen….généralement cette phrase est suivie d'un « Robert rhabille le petit il va prendre froid hé,hé,hé ». Rires gras et regards entendus. Ça m'a toujours profondément agacé d'entendre des choses pareilles. Non pas que les idées du FN puissent trouver quelque écho chez nos compatriotes toxicomanes au Ricard, et les autres d'ailleurs également, ça j'en ai pris mon parti et ça ne m'agace pas spécialement, ça me navre, m'afflige, me trouble, me met en colère, me perturbe….mais agacer, non, ça n'a pas de sens. Ce qui m'agace c'est qu'on déclare, sans toutefois apporter un quelconque argument, que droite et gauche c'est blanc-bonnet et bonnet-blanc.
Lorsque ce genre de propos sont tenus ils sont, en règle générale, rarement, très rarement, accompagnés d'un argumentaire qui se tient. C'est le problème des analystes de comptoir, dont je fais partie, ça va de soi. Pourquoi si la droite et la gauche étaient réellement similaires nous faudrait-il choisir ? Mettez Martine Aubry et Jean-François Coppé dans une pièce, fermez la porte, tamisez la lumière et laissez mariner durant 20 minutes…je doute qu'un quelconque point d'accord soit trouvé sur un quelconque sujet.
Il y a, certes, des thèmes qui transcendent les partis, les idéologies et les sensibilités. Généralement c'est ce qui touche à la politique extérieure, et notamment à la guerre. Ça peut être, également, ce qui touche à l'écologie et à la défense de nos écosystèmes, du moins ça devrait l'être plus que ça ne l'est, ce qui est assez édifiant quand on regarde de près les choses. Prenons par exemple cette histoire de gaz de schistes. Il semble qu'il y ait des réserves insoupçonnées jusqu'alors, qui se trouvent sous nos pieds, de gaz et huiles de schistes. Il parait même que ces hydrocarbures nous assureraient quelques années de confort énergétique. Parfait se dit-on, voilà une manière de fournir de l'énergie à moindre coût (pas de transport), qui serait en plus bonne pour l'emploi (installations en France donc emplois locaux) et nous offrirait un moyen de nous affranchir du nucléaire (ce que d'ailleurs refuse catégoriquement la droite et une partie de la gauche). Que des avantages ! Qui donc pourrait bien être contre ça ? A part quelques obscurs anarcho-syndicalistes arriérés, bien entendu, à qui j'adresse mes plus chaleureux bisous d'ailleurs !
Ben ouais, ça devrait faire consensus un truc pareil, et d'ailleurs durant quelques semaines ce fut le cas…mais pas exactement comme on aurait pu l'imaginer au départ.
En effet, on dispose quand même de quelques données relativement solides quant aux conséquences de l'exploitation de ces gaz. Il se trouve qu'aux États-Unis des régions entières sont en train de devenir invivables suite aux conséquences des forages. C'est ennuyeux. Et puis pour aller éclater la roche et recueillir le précieux nectar énergétique il faut des quantités astronomiques de flotte, ce qui est pour le moins incongru dans un monde où l'eau devient une ressource sinon rare du moins à surveiller de très près. La cerise sur le gâteau étant que les nappes phréatiques deviennent impropres à la consommation, on ajoute de la pollution à la pollution…la vraie classe !
Ce qui est très fort est que ces données on les a depuis un bail déjà, on peut donc se poser une première question qui est de savoir pourquoi cette exploitation fut envisagée au regard du ratio avantage/inconvénient largement inférieure à 1…c'est vrai ça, pourquoi ?
Ben parce que Borloo décida d'accorder des licences d'exploitation aux industriels, sans autre motivation que d'ouvrir un nouveau marché aux entreprises. Marché, entreprises, pognon, profits, c'est en gros ce qui motive les décisions de ce gouvernement, c'est assez simple à comprendre.  Il fut donc décidé, à la hâte sinon ça ne serait pas drôle, d'accorder les fameuses licences. Marché juteux pour les boites, rentrées d'argent pour l'état, et tant pis si on va une fois de plus martyriser les sols sans connaitre les conséquences à long terme et en éludant totalement celles  à court terme. Et puis…et puis le même Borloo, grisé par quelques sondages et se sentant pousser des ailes en vue d'une candidature à la présidence de la république s'est glissé dans la peau d'un opposant au gouvernement. Jean-Louis Borloo s'est alors rendu compte des risques incroyables que fait planer cette décision, prise par un certain Borloo Jean-Louis. Alors on a le droit de changer d'avis, et heureusement, mais l'inconséquence et la mémoire sélective des hommes politiques m'étonnera toujours.
Menant la fronde contre son propre texte voilà que l'assemblée nationale se rend compte que c'est pas une très très bonne idée que d'aller trouer la terre pour la faire vomir son gaz et saccager tout ce qu'il y a autour. D'autant plus qu'il me semble avoir entendu que la France s'était engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre…faut savoir ce qu'on veut les gars ! Un peu de cohérence ne ferait de mal à personne. Voilà donc la décision d'interdire toute exploitation qui est prise et actée par l'ensemble des députés. Bel exemple d'unanimité et de concept trans-partis ! Las, voilà que quelques jours après que cette décision fut prise, nos sympathiques futurs exploitants du dit matériau se sont mis à gueuler. A base de « va falloir nous indemniser les enfants parce que vous nous aviez accordé une licence, c'est écrit là ! ». Peut-être leur a-t-on rétorqué « Certes messieurs, mais nous nous sommes trompés et pour le bien de la communauté et afin de préserver encore ce qui peut l'être nous n'accordons finalement pas de concessions d'exploitation ! ». « QUOI ???? » rétorquèrent certainement en cœur nos vaillants capitaines d'industrie… « Mais on va perdre de l'argent, vous n'y pensez pas ? ». Peut-être a-t-il été suggéré que ça n'était pas de l'argent de perdu en fait, mais de l'argent qui devait être gagné et ne le sera pas, c'est différent, et si vous avez déjà claqué ce pognon en drogues et en putes Ukrainiennes on n'y peut rien !
Mais on ne peut opposer la sauvegarde de l'environnement au profit dès lors qu'on s'adresse à un capitaliste. Le capitaliste s'en branle de la nature, quant à la communauté….le concept le dépasse ! Le pognon et l'individualisme ne s'accordent pas très bien de l'intérêt commun, c'est un fait, et je ne comprendrais jamais que l'on puisse préférer le premier au second. Et je le dis sans ironie, plus je vieillis et moins je peux comprendre qu'on soit de droite….encore un mystère de la vie qu'il me faudra résoudre ! Satanée quête de sens tiens…
Nous assistons alors à un édifiant rétropédalage dont ce gouvernement, décidément, a le secret. En prenant un pas de recul on voit que la gauche campe sur la position d'interdire l'exploitation et la droite désire passer outre. D'ailleurs je constate que la gauche demande plus précisément qu'un débat soit ouvert avant que toute décision de relancer le processus soit ou non prise, ce qui est quand même relativement intelligent. L'application d'un évident principe de précaution sur ce sujet semble être le minimum, et je ne dis pas ça parce que je suis plus proche de la gauche que de la droite ! Si ça ne tenait qu'à moi il n'y aura que de l'éolien, du solaire et de l'hydraulique en terme de ressources énergétiques, mais on ne me demande pas mon avis ce que je  trouve d'ailleurs de plus en plus vexant, mais passons…Donc à gauche on dit « Stop les conneries ! On regarde précisément quelles peuvent être les conséquences et on avise en bonne intelligence ». Normalement cette attitude, même si elle ne peut contenter entièrement les industriels avides, elle a au moins le mérite de ne pas enterrer totalement le projet et donc de laisser un espoir aux futurs exploitants de profiter de la manne. La droite, comme à son habitude, se couche devant les lobbys. Sans broncher, le petit doigt sur la couture du pantalon toujours prompte à satisfaire les dominants et leur soif inextinguible de pognon. Les industriels devraient avoir un minimum de conscience environnementale et donc sociale et profiter de cette pause forcée pour justement effectuer les recherches qui s'imposent afin d'avoir toutes les cartes en main. Or avant même ces études ils annoncent qu'ils s'engagent à ne pas utiliser la méthode actuelle pour extraire le gaz. Ah bon ? Mais alors quelle méthode ? Ah ça on ne sait pas bien mais faites-nous confiance….heu ben non à chaque fois qu'on vous fait confiance on se réveille avec le derrière très douloureux ! Cette histoire est caricaturale du rapport que la droite a avec l'argent. Je n'ai à priori rien contre l'argent mais il ne mène pas ma vie, s'il peut influencer quelques choix, ces derniers se trouvent à la marge. Ici c'est la recherche de profit qui guide tout. Ces industriels n'ont pas besoin de ce blé, mais une fois qu'ils se sont mis en tête qu'un marché existait, qu'il était possible de trouver une nouvelle source de profit il est trop tard, ils ne pensent qu'à ça ! La pollution, le saccage des zones habitables et l'émission de gaz à effet de serre sont des arguments qui me semblent plus que recevables. Ils sont simplement balayés par l'appât du gain. C'est toujours la même chose d'ailleurs, privatisation des gains, nationalisation des pertes ! Lorsqu'il faudra déplacer des populations sous prétexte que l'environnement sera invivable, lorsqu'il faudra parer aux effets aggravants des gaz à effet de serre cela aura un coût. Ce coût sera porté par la collectivité…une fois de plus. J'ai l'impression d'enfoncer des portes ouvertes, c'est usant.
Nous avons donc ici un exemple concret de ce qui peut cliver la droite et la gauche : les priorités que l'on hiérarchise au moment de prendre une décision. Dans un cas on place les populations, la société dans son ensemble en priorité, dans l'autre on préfère protéger le compte en banques de quelques multinationales et, par ricochet, les actionnaires appartenant à une petite caste de dominants qui jamais ne seront rassasiés. C'est fou cet appétit insatiable pour l'argent….fou et indécent.
Même sur un sujet qui devrait rassembler tout le monde il existe des différences fortes entre les deux blocs idéologiques autour desquels s'articule la vie politique française.
Un autre sujet incroyablement clivant et dont on parle beaucoup en ce moment est le travail. Ahhh le travail…on sent bien l'excitation du libéral quand il vante les vertus de la valeur travail. Le travail c'est le lien social, le travail c'est la dignité, le mérite doit être le seul indicateur sur lequel on calcule les revenus…on peut également dire que le travail c'est la santé tant qu'on y est ! Parlons-en aux salariés de France télécom, ça peut être drôle. Enfin drôle….on s'entend.
Le rapport au travail et à l'oisiveté ont généré une abondante littérature philosophique et sociologique, on n'aura pas l'outrecuidance de dire ici ce qui est déjà écrit  ailleurs. Et puis on n'en a ni le temps ni le courage….c'est que c'est du boulot quand même !
Je vous conseille néanmoins les écrits de Jeremy Rifkin qui est contemporain, ou bien encore « éloge de l'oisiveté » de Bertrand Russel qui ne l'est pas du tout…contemporain. On voit dès lors que le sujet, bien qu'ayant vu son traitement évoluer, n'est pas neuf. Depuis l'abolition de l'esclavage et l'avènement du capitalisme la forme de travail la plus répandue est le travail salarié. Les possédants nécessitant de la main d'œuvre pour générer du profit vont louer la force de travail des salariés en échange d'un salaire. Bon relisez Marx c'est très bien décortiqué. Les capitalistes nous disent ceci : seul le travail permet la dignité, ne pas travailler c'est ne pas avoir sa place dans la société.
Outre que c'est philosophiquement faux, nous allons y revenir, c'est surtout se foutre de la gueule du monde que de dire des choses pareilles. Qu'est- ce qu'il en a à foutre le capitaliste de la dignité de son voisin ? Ce qui l'intéresse, et pour le coup accordons-lui au moins l'honnêteté d'assumer cet état de fait, c'est le profit. Quelle que soit la manière de l'obtenir ainsi que les conséquences que ça aura sur le reste de la société. Au fond si le capitaliste pouvait continuer de s'enrichir sans devoir exploiter les travailleurs je suis persuadé qu'il le ferait, il n'est ni bon ni mauvais le capitaliste, il est cynique et froid.
Quant à la dignité qui serait intrinsèquement liée à l'activité travail c'est une belle foutaise, et simplement une manière de culpabiliser celui qui ne travaille pas. On n'a jamais vu qu'une femme de ménage ou un OS de chez Renault trouvait sa dignité dans le travail. Par contre, et le coup de vice se trouve ici, ou du moins pas loin, la propagande lui expliquant que seul le travail qu'il fournit peut exprimer sa valeur il le croit, et docilement ne se pose même pas la question de ce qu'est finalement la dignité aux yeux des possédants. La valeur d'un homme est évaluée à l'aune du travail qu'il peut abattre, cette vision étriquée et fondamentalement concurrentielle des choses fausse irrémédiablement  les rapports de force entre les deux classes.
La classe des possédants se compose de plusieurs factions, une d'elles est la classe politique conservatrice entretenant des liens incestueux perpétuels avec le milieu de l'argent. Chez nous c'est la droite, et plus particulièrement l'UMP, qui représente le mieux ce que sont les « possédants politiques conservateurs ». A la différence des financiers et entrepreneurs, ils ajoutent une notion de devoir à l'idée même de travail. De tous temps il y eut une classe d'exploiteurs et une classe d'exploités. Néanmoins il faut reconnaitre que ce rapport de classe, grâce aux luttes qui furent menées par vagues successives depuis la révolution Française, a fortement évolué. Certains datent la genèse de ces combats au début de la révolution industrielle et les premiers voyages d'Engels dans les bas-fonds ouvriers de la banlieue londonienne, pour ma part je marque la prise de conscience de cet état de fait et les premières luttes égalitaristes de la révolution Française. Néanmoins aujourd'hui la question peut ne pas être tranchée, cela n'a aucune importance concernant le sujet qui nous occupe.
A une époque, donc, le contrat social liant le possédant et le travailleur fut rééquilibré. Enfin, mieux équilibré serait plus honnête car on peut constater chaque jour que la lutte est loin d'être terminée. Le sera-t-elle un jour ? Malheureusement j'en doute fort…Mais bon, il faut admettre que le dit-contrat fut plutôt amélioré au cours des ans. Désormais il existe même ce qu'on appelle un contrat de travail, contrat que l'une ou l'autre des parties peut rompre à sa guise en lésant au minimum chacun des protagonistes. Ce contrat de travail indique précisément et sans ambiguïté que contre une durée et une charge de travail une rémunération est garantie pour le travailleur.
Le travail devenu « à la carte » fait disparaitre naturellement la notion de devoir. Auparavant un serf avait des devoirs vis-à-vis de son maitre, en s'acquittant de son dû il avait alors droit à une partie des récoltes et à une protection.
Le travail, et heureusement, n'est plus un devoir. Il est un droit, il est malheureusement une nécessité parfois, mais il n'est en aucun cas un devoir. D'ailleurs combien de rentiers parmi les encartés de l'UMP ? Si le travail était un devoir ne devraient-ils pas, justement, travailler ?
Le devoir de travailler, si on suit la logique de la droite, n'est applicable que pour la classe exploitée, celle des salariés, des nouveaux serfs ! Mais la droite tient un discours que je trouve pour le moins ambigu, le travail comme moyen d'insertion en société, le travail comme moyen d'émancipation mais également le travail comme un devoir duquel se dérober est mal !
Laurent Wauquiez veut remettre au goût du jour le travail sanction. Tu n'arrives pas à trouver du travail ? Tu es donc au RSA pour survivre ? Mais il va falloir mériter cette obole que te fait l'état alors je vais t'en trouver moi du travail, et du bien merdeux, que tu vas donc effectuer gratuitement !

Pour Wauquiez l'état fait donc la charité. Ce monsieur se décrit de la « droite sociale »…kezako ça la droite sociale ? Ça n'a aucun sens….mais passons.
L'état c'est chacun de nous. Payant mes impôts depuis des années et sans jamais un jour de retard j'estime que je suis en droit de donner mon avis, et j'estime (mais je ne suis pas le seul, fort heureusement) que je ne fais pas la charité en permettant à ceux qui ont besoin d'aide d'être aidé. Je ne demande rien en échange et quand bien même il existerait des personnes qui se contentent des minima sociaux, en quoi ça me dérangerait ?
Et bien ça, ça dérange la droite ! Etre oisif est monstrueux, contre-nature ! C'est pourtant l'inverse, l'homme n'est pas fait pour travailler. Pas fait pour se perdre en des tâches dégradantes. L'homme est fait pour penser, aimer, créer, rire, chanter…pas pour travailler.
Dire ça aujourd'hui s'apparenterait à un « crime par la pensée » pour reprendre Orwell, à un délit grave. Mais un doute monte en moi : lorsque furent créées les machines-outils au 19ème siècle lors de cette incroyable révolution industrielle n'était-ce pas pour permettre aux hommes de moins travailler ? Ah non, suis-je bête, cela devait servir à accroitre les profits de manière exponentielle tout en imposant une pression incroyable sur la classe ouvrière…pari réussi !
Dans cette affaire minable de RSA où se mêlent l'incompétence la plus crasse et la démagogie la plus laide, il ressort une fois de plus que la droite est désireuse de casser une bonne fois pour toute le contrat social.

Plus encore que la sécurité ou l'immigration, le travail divise droite et gauche, capitalistes et humanistes, financiers et philosophes. A entendre le ministre des affaires européennes, ministère qui ne doit d'ailleurs pas lui prendre beaucoup de son temps vu qu'il lui en reste pour réfléchir à comment remettre l'esclavage au goût du jour, à l'humiliation de ne pas travailler il faut ajouter celle de travailler…pour rien !
Ne pas travailler ne devrait pas être humiliant, on ne devrait pas avoir à se sentir obligé de travailler. La technologie ne devrait être là uniquement que pour permettre aux hommes de travailleur moins et mieux, en aucun cas pour en faire un moyen de coercition et une source de profit supplémentaire. Dans un monde parfait le travail ne serait que plaisir, personnel et intime, chacun pourrait ou non travailler selon ses désirs. Je suis persuadé que beaucoup de gens auraient une activité, car il existe des métiers passionnants et heureusement…Dans un monde parfait Laurent Wauquiez serait réduit à ce qu'il est, un ectoplasme nauséabond et au cynisme débordant.
Dans un monde parfait la droite n'existerait même pas, et le capitalisme encore moins !!!

Comme quoi même lorsque la barrière entre droite et gauche devient floue, il y en a qui semblent prendre un malin plaisir à retrouver des moyens de les distinguer. Si je possédais le centième du cynisme de Laurent Wauquiez, je pourrais lui dire merci.
Peut-être qu'ainsi en 2012 les indécis ne le seront plus et la confusion sera impossible !

Hasta Siempre et bonne journée !!

 

 

 



15/05/2011
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